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L'album en randonnée relate l'histoire d'une amitié entre une petite fille et un escargot, qui vont apprendre à jouer ensemble.

Les trois petits cochons rentrent de tournée, ils sont ravis, ils vont pouvoir dépenser leurs gains, chacun selon son goût. L'aîné projette d'acheter une maison, le cadet voudrait une voiture, et le benjamin, lui, va faire la fête... Mais quel est ce personnage qui les suit ? C'est le loup ! C'est Igor !

Oh ! la jolie fleur ! C'est la mienne. Non, c'est ma fleur ! CRAC ! Heureusement, Truc et Bidule ont toujours des idées chouettes.

Sur une lointaine planète vivaient Édouard et Jeannette, un Toubleu et une Tourouge. Par un beau matin, ces deux-là tombèrent amoureux. Le coup de foudre ! Malheureusement pour eux, sur la lointaine planète, Tourouges et Toubleus ne se mélangent pas, et bien plus encore : ils se détestent ! Hors de question donc pour une Tourouge d'épouser un Toubleu...

« Aujourd'hui, à l'école, il y a un nouveau. Il s'appelle Sam. » Toujours vêtu d'un pull vert, ce Sam n'est pas du genre à se mêler aux jeux des autres. Forcément, il intrigue. Qui peut préférer regarder les nuages à jouer à l'épervier ? Archibald décide de lui donner sa chance. Et Sam lui prête son regard : dans un nuage, il voit un dragon ; dans une toupie, un cyclone. Or il suffit que Sam soit malade une semaine pour qu'Archibald perçoive l'absence criante de ce point vert dans la cour. À son retour, c'est l'amitié scellée, entre deux enfants résolument différents.

Sulwe a une peau qui ressemble à la nuit. Elle se trouve plus sombre que sa famille, plus sombre que ses amis. Alors que sa sœur a la couleur du soleil et attire tous les regards, Sulwe reste dans la pénombre et rêve de trouver sa propre lumière. Mais un soir, Sulwe embarque pour un voyage magique qui lui montrera que la nuit est aussi belle que le jour...

Le jour de la Saint-Valentin, un coup de vent réunit Honoré le pâtissier et Aglaé la fleuriste.

Monsieur Bibot, le dentiste, était un homme rigide et peu aimable, qui n'autorisait son chien à aboyer que le Quatorze Juillet. Un jour, une vieille dame qu'il avait soulagée d'une rage de dent le paya avec deux figues, en lui disant qu'elles étaient magiques. Monsieur Bibot refusa de le croire. Il avait tort.